Un conseil venu d’en haut.
Estimant que "les règles religieuses doivent être déterminées en fonction du lieu, de l'époque et des circonstances", le patron de la Ligue islamique a estimé que les imams en quête d'un avis de jurisprudence musulmane ne devraient "jamais s'adresser à une autorité en dehors du pays dans lequel ils vivent". Il a exprimé son "plein soutien" au Conseil français du culte musulman (CFCM), qui doit "continuer à travailler pour se faire connaître et respecter". Interrogé sur son rapport au wahhabisme, version saoudienne et très puritaine de l'islam, le secrétaire général de la LIM a répondu : "Pour nous, il n'y a pas de wahhabisme. Il y a l'islam, point." Mohammed al-Issa s'est dit hostile à la fois à "une forme d'ultrarigorisme", à "l'extrémisme idéologique" et au "terrorisme", rejetant "les Frères musulmans" comme "le salafisme djihadiste". Source
—- Le bourrage (inverse ?) de crâne en cours non épargné pour autant :
C’est mignon. Moins mignon :
C’est comme si nous avions un problème avec l’islam. Allô ? Mais allô, quoi !