En Guyane, les prises de position d'Emmanuel Macron sur les politiques anti-environnementales du Brésil ont provoqué « l'étonnement » des défenseurs de la forêt amazonienne.
Le Grand conseil coutumier, un organisme représentatif des peuples amérindiens et bushinengé, lui a reproché, dimanche, d'avoir attribué « 360 000 hectares de forêt » amazonienne « aux multinationales minières ».
Source et plus
Une source(la Guyane).
En trois ans plus de 11000 demandes d'asile ont été déposées en Guyane, un chiffre record. Parmi ces demandeurs, 88% d'entre eux viennent d'Haïti. Par manque de structures d'accueil, les bidonvilles se multiplient et face à cette vague migratoire sans précédent la Guyane se trouve dans l'impasse. (2017)
Source
Le Grand conseil coutumier, un organisme représentatif des peuples amérindiens et bushinengé, lui a reproché, dimanche, d'avoir attribué « 360 000 hectares de forêt » amazonienne « aux multinationales minières ».
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Ce qui expliquerait cela :
![]() | Agence France-Presse (@afpfr) |
Le Brésil rejette l'aide du G7 (20 millions de dollars) pour combattre les incendies en Amazonie, a annoncé le chef de cabinet du président Jair Bolsonaro, qui a conseillé au président français Emmanuel Macron de s'occuper "de sa maison et de ses colonies"#AFP pic.twitter.com/1kDgocVRu3
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Les trafics, or, prostitution, êtres-humains, armes, etc... entre le Brésil et le département de la Guyane,
Immigration clandestine.
Immigration clandestine.
En trois ans plus de 11000 demandes d'asile ont été déposées en Guyane, un chiffre record. Parmi ces demandeurs, 88% d'entre eux viennent d'Haïti. Par manque de structures d'accueil, les bidonvilles se multiplient et face à cette vague migratoire sans précédent la Guyane se trouve dans l'impasse. (2017)
Source
"La France participe de la déforestation en Guyane en cassant les lois contre l’importation d’huile de palme et favorise le développement d’un élevage où les animaux ne voient jamais la nature. Si on n’attaque pas ces modèles-là, c’est de la blague", déclare Yannick Jadot.
Le feu "n’est pas le seul danger qui menace ou
qui détruit l’Amazonie", affirme le Grand Conseil coutumier des peuples
amérindien et bushinengé, qui a la responsabilité de représenter et de
défendre les intérêts des peuples amérindien et bushinengé de Guyane,
dans une tribune publiée sur franceinfo.fr.
Alors que des incendies ravagent l'Amazonie, il met en cause "l'extractivisme"
et appelle la France à ratifier la Convention 169 de l'Organisation
internationale du travail (OIT), relative aux peuples indigènes et
tribaux, afin de reconnaître véritablement le droit des peuples
autochtones.
Le Brésil n’est pas le seul pays
amazonien touché par les flammes, l’Amazonie n’est pas la seule forêt en
feu, en Afrique aussi la forêt brûle et les peuples et l’ensemble des
êtres souffrent de cette destruction.