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Le pays
entre en des convulsions diverses où la haine et la violence ont pris pied.
Cette enquête sur les ressorts intimes du pouvoir macroniste, écrite en octobre
2018, vient donner raison à ces haines et violences que l’on s’est tant plus à
déconsidérer.
Impubliable institutionnellement,
elle l’est du fait des liens de corruption, de népotisme et d’endogamie que
l’on s’apprête à exposer.
En un pays
où 90% de la presse est entre les mains de quelques milliardaires, l’exposition
de la vérité est affaire complexe, et la capacité à dire et se saisir du réel
ne cesse, pour les dirigeants et les «élites» tout autant que pour le «peuple»,
de se dégrader.
Un Français
sur deux sondage yougov du 4décembre 2018 souhaite la démission de Macron. Il
faut mesurer la force de ce chiffre.
Ce qui sera
ici démontré, c’est ce que le système mis en place par ces êtres a suffi à
court-circuiter l’ensemble des garde-fous de notre démocratie, et permis
l’établissement d’un pouvoir dont l’illégitimité est à juste titre contestée,
où l’entre-soi et le conflit d’intérêt ont été érigés en normes, et où les hommes
de pouvoirs ont été in-tronisés pour maintenir l’ordre et piller.
Le
pouvoir présidentiel entre en son crépuscule.
Les
hostilités sont lancées Via la publication de l’ouvrage « Mimi » chez Grasset. Explosant les opaques frontières jusqu’ici dessinées au nom de
l’intimité par une presse compromise et dominée, le texte, œuvre de deux
journalistes d’investigation et d’une romancière, met en lumière, à la rentrée 2018,
l’une des principales pièces de la «fabrique du consentement» qui a permis la
victoire d’Emmanuel Macron, à travers un matraquage inédit, quasi physique, qui
fut imposé par une certaine caste aux Français.
L’enquête
expose la figure de Michèle Marchand, pièce centrale d’une immense entreprise
de communication qui fut mise en place avec l’aide d’un milliardaire, un
certain Xavier Niel, dans le but de faire connaître et adouber par le peuple français
un inconnu absolu qui venait d’être coopté par les élites parisiennes, pur
produit du système transformé en quelques mois en icône adulée par les
rédactions de Gala, VSD, Paris Match et de quelques autres magazines mobilisés
avec soin.
….nous révèle
comment un ancien proxénète devenu milliardaire puis oligarque, un certain Xavier Niel, avait rencontré
à l’orée des années deux-mille une femme du milieu, Michèle Marchand,
emprisonnée notamment pour trafic de drogues, et avait décidé de s’allier à
elle pour en faire un rouage dans son ascension fulgurante vers les plus
grandes fortunes de France.
Première
étrangeté que le texte révélait : cette «Mimi» Marchand avait
été rencontrée par Xavier Niel grâce aux réseaux qu’il avait
cultivés lors de son passage en prison. Si l’une fut incarcérée à Fresnes et
l’autre dans la cellule VIP de la Santé–où il fut protégé par le juge d’instruction Renaud Van Ruymbeke- leur
avocate fut commune et les présenta mutuellement.
Et si Xavier
Niel s’est recouvert de quelques noirceurs auxquelles échappent la plupart de
ses congénères, sous forme d’enveloppes ayant alimenté un réseau de
prostitution dont il dirait ne rien avoir su, l’on sait depuis bien longtemps
que les fortunes sont plus souvent le fruit de putréfactions cadavériques que
d’actes qualifiant aux béatifications.
.... une bonne lecture, bien motivante, avant d'aller manifester.
Extrait de l’émission de 25 minutes à visionner sur cette source
C'est plus "tous pourris", c'est "tous des repris de justice !".
On avance bien ! Je vous conseille vivement la lecture du document joint !
De Xavier Niel à Bernard Arnault, en passant par Attal, Jouyet et
Griveaux : comment une constellation d'intérêts a fabriqué le candidat
Macron et fait nommer Edouard Philippe à Matignon.