L’âme d’un bistrot, je l’ai toujours connue et beaucoup de mes camarades également. Mais on a été obligé de faire un constat.
Ces lieux du vivre-ensemble considérables, très attachés à Paris, disparaissent.
les bistrots représentaient 50 % de la restauration parisienne contre 14 % aujourd’hui.
Source
Les jeunes de 30-35 ans rentrent chez eux beaucoup plus souvent qu’auparavant pour se faire livrer leurs repas. Ce phénomène a été amplifié par les attentats de 2015 et de 2016.
On veut protéger un art de vivre qui est un brassage culturel populaire, un effaceur social, ethnique et confessionnel.
Ces lieux du vivre-ensemble considérables, très attachés à Paris, disparaissent.
les bistrots représentaient 50 % de la restauration parisienne contre 14 % aujourd’hui.
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Les jeunes de 30-35 ans rentrent chez eux beaucoup plus souvent qu’auparavant pour se faire livrer leurs repas. Ce phénomène a été amplifié par les attentats de 2015 et de 2016.
On veut protéger un art de vivre qui est un brassage culturel populaire, un effaceur social, ethnique et confessionnel.