Le déficit pluviométrique enregistré ces derniers mois sur une grande partie du territoire explique un taux de recharge déficitaire. Les premières pluies d’automne qui avaient commencé à engendrer un premier épisode de recharge n’ont pas perduré et la situation ne s’est pas améliorée au cours de l’hiver.
(À Paris, on ne respire plus ! La nuit, fenêtres ouvertes on étouffe, il tombe 3 gouttes et Météo-Paris m'annonce qu'il pleut...
indice de pollution atmosphérique ? Nada, que dalle, wallou, )
74 % des nappes affichent un niveau bas à très bas
Pour le Monde :
indice de pollution atmosphérique ? Nada, que dalle, wallou, )