Un travailleur du nucléaire opérant sur le site de la centrale de
Fukushima a découvert qu’il y avait un trou dans la paroi sous-marine
installée pour empêcher les rejets radioactifs dans l’océan.
Tepco, l’entreprise exploitante a précisé ce jeudi 26 septembre que ce problème avait été constaté devant les réacteurs 5 et 6 (peu endommagés).
Selon la compagnie, la radioactivité est « très faible » à proximité de ces deux réacteurs et le risque de diffusion d’éléments radioactifs « peu probable ».
Elle attend un temps plus clément pour pouvoir procéder à des réparations, l’océan étant extrêmement agité en raison de l’influence distante d’un typhon.
plus ici, encore
mise au point et questions :
Devant cette monstrueuse radiotoxicité potentielle temporaire en partie respirée par l’entière population de l’hémisphère nord qui à terme en payera fatalement les conséquences pathogènes comment donc s’étonner que tant la TEPCO selon laquelle 2,7% de l’Iode 131 de l’inventaire est allé en fugue aérienne que les publications internationales (dont nous préférons taire les noms tant elles sont honteuses) en aient sous-estimé amplement l’excursion atmosphérique ? Vu la très basse température d’ébullition de l’élément (184,4 °C) respectivement aux 2000 °C moyens du corium, cette excursion d’iode devrait en toute logique se situer, comme à Tchernobyl, autour de 55% de l’inventaire, le reste étant fini dans l’eau.
source : AIPRI
Wendy décode : on ne sait rien, on ne comprend rien, on a aucun moyen de mesurer l'exacte étendue des dégâts sanitaires. mais, ne l'oublions pas, nous vivons en démocratie.
Tepco, l’entreprise exploitante a précisé ce jeudi 26 septembre que ce problème avait été constaté devant les réacteurs 5 et 6 (peu endommagés).
Selon la compagnie, la radioactivité est « très faible » à proximité de ces deux réacteurs et le risque de diffusion d’éléments radioactifs « peu probable ».
Elle attend un temps plus clément pour pouvoir procéder à des réparations, l’océan étant extrêmement agité en raison de l’influence distante d’un typhon.
plus ici, encore
mise au point et questions :
L'Iode 131 de Fukushima
I131; Gaz; Bp: 184,4 °C;
Rdf U235: 2,88%; T1/2: 8,0233 jours; 1,25 kg; 5,75E18 Bq; Sv/Bq Inhal: 7,60E-9;
Ld inhal: 8,75 milliards; Sv/Bq Ingest: 2,28E-8; Ld ingest: 26,24 milliards.
A « l'arrêt » à Fukushima le I131 avait
pour l’ensemble des 3 réacteurs explosés une activité d’au moins 5,753E18 Bq
(5,75 EBq soit 155,5 millions de Curie), une masse de 1,25 kg et comptait pour
0,479% de l'activité globale à t0. D’après les facteurs
de doses internes officiels de l’ICRP, ses 8,75 milliards de doses
létales potentielles par inhalation comptaient également pour 2,78% de la
radiotoxicité par inhalation et ses 26,24 milliards de doses létales
potentielles par ingestion comptaient pour 10,59% de la radiotoxicité par ingestion.
Devant cette monstrueuse radiotoxicité potentielle temporaire en partie respirée par l’entière population de l’hémisphère nord qui à terme en payera fatalement les conséquences pathogènes comment donc s’étonner que tant la TEPCO selon laquelle 2,7% de l’Iode 131 de l’inventaire est allé en fugue aérienne que les publications internationales (dont nous préférons taire les noms tant elles sont honteuses) en aient sous-estimé amplement l’excursion atmosphérique ? Vu la très basse température d’ébullition de l’élément (184,4 °C) respectivement aux 2000 °C moyens du corium, cette excursion d’iode devrait en toute logique se situer, comme à Tchernobyl, autour de 55% de l’inventaire, le reste étant fini dans l’eau.
source : AIPRI
Wendy décode : on ne sait rien, on ne comprend rien, on a aucun moyen de mesurer l'exacte étendue des dégâts sanitaires. mais, ne l'oublions pas, nous vivons en démocratie.